La peinture historique

peinture historique



La peinture d'histoire est un genre dans la peinture définie par sujet plutôt que d'un style artistique, représentant un moment dans un récit narratif, plutôt que d'un objet statique examiné comme un portrait. Les dérives à long terme des sens contradictoires du mot en latin et en italien historia, et signifie essentiellement «histoire peinture", plutôt que de la peinture de scènes de l'histoire dans son sens étroit du terme en anglais moderne, la période pour laquelle la peinture d'histoire peuvent être utilisées, en particulier pour l'art du 19ème siècle. Il ya presque toujours un certain nombre de chiffres indiqués, souvent un grand nombre.

la peinture historique



Les représentations de moments dans les récits religieux, surtout la vie du Christ, sont inclus dans la définition, comme le sont les scènes narratives de la mythologie, et ces deux groupes ont longtemps été le peint le plus souvent; travaille examinés dans le plafond de Michel-Ange Chapelle Sixtine sont donc la peinture d'histoire , car la plupart sont de très grands tableaux avant le 19ème siècle. Essentiellement, le terme recouvre de grandes peintures à l'huile sur toile ou sur la fresque réalisée entre la Renaissance et la fin du 19e siècle, le terme est générique rallye après quoi pas utilisé, même pour les nombreuses œuvres qui répondent à la définition de base silencieuse.

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La peinture d'histoire était traditionnellement le plus élevé considéré comme une forme de la peinture occidentale, occupant la place la plus prestigieuse dans la hiérarchie des genres, et considéré comme l'équivalent de l'épopée dans la littérature. Difficile dans son Della Pictura de 1436, Leon Battista Alberti avait fait valoir que plusieurs chiffres peinture était l'histoire forme la plus noble de l'art, comme étant le plus, ce qui nécessitait la maîtrise de tous les autres, parce que c'était une forme visuelle de l'histoire, et parce que il avait le plus grand potentiel pour déplacer le spectateur. Il a mis l'accent sur la capacité à représenter les interactions entre les chiffres par le geste et l'expression. Ce point de vue resté générale jusqu'à ce que le 19ème siècle, lorsque les mouvements artistiques ont commencé à lutter contre les institutions mise en place de l'art académique, qui a continué à y adhérer . Dans certains contextes, 19e siècle ou 20e, le terme peut se référer spécifiquement à la peinture de scènes de l'histoire séculaire, plutôt que ceux de récits religieux, la littérature ou la mythologie.

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